Actu JV du Captain – Mai 2022 : V Rising, Arma, Warhammer 40K Chaos Gate, …

Dans cet épisode, nous allons parler de Chaos Gate, de tireur d’élite et du nouveau jeu à la mode V Rising.

 

 

Business

 

Les Japonais de Square Enix se séparent d’une partie de leurs studios au profit d’un certain Embracer Group, le groupe suédois ancienne connu sous le nom de Nordic Games Publishing (2008-2016) puis de THQ Nordic AB (2016-2019) pour avoir racheté de nombreux actifs auprès des Autrichiens de JoWood Entertainment pour leur démantèlement en 2011 et surtout des Américains de THQ pour leur démantèlement de 2013. Après une acquisition remarquée en 2021 avec le rachat de Gearbox Software, responsable entre autres de la série à succès Borderlands (2009-2019), dont nous parlons dans la dernière rétrospective, ils rachètent trois studios des mains de Square Enix pour 300 millions d’euros, à savoir Crystal Dynamics, connus pour leur reboot de Tomb Raider (2013) et du décevant Marvel’s Avengers (2020), Eidos Montreal, responsables du retour de Deus Ex avec Human Revolution (2011), de Thief (2014) et avec également le jeu Marvel plus apprécié Marvel’s Guardians of the Galaxy (octobre 2021), et de Square Enix Montreal et leurs jeux mobile avec leur série Go. Le deal rassemble ainsi près de 1100 employés. On peut ergoter sur le montant, qui semble plutôt faible, mais il est vrai que la plupart des softs cités n’ont pas eu le succès commercial escompté par la firme japonaise, pouvant peut-être en partie expliquer ce deal.

 

 

L’Arabie Saoudite investit dans le jeu vidéo. Son fonds d’investissement PIF pour Public Investment Fund, a ainsi acheté 5% des parts des Japonais de Nintendo, tout comme ils l’ont déjà fait pour Capcom et Nexon, mais aussi pour Activision-Blizzard, Electronic Arts et Take-Two Interactive. Le marché saoudien du jeu vidéo est en effet en plein boom, et cela fait plusieurs années que des investissements sont notamment faits dans le domaine de l’e-sport.

 

 

Valve n’est pas encore sorti d’affaire pour ses problèmes judiciaires avec Steam qui ne respecterait pas le droit de la concurrence. Initialement, Valve était accusé en 2021 par Wolfire Games, un studio indépendant, d’abuser de sa position dominante avec Steam et ses 30% de commission pour influencer les prix du marché, particulièrement pour ceux voulant se passer d’une sortie sur la plateforme des Américains. L’affaire, après avoir été mis en suspens, vient de se réactive : les ennuis continuent donc pour Valve.

 

 

Ca tranche (Action)

 

Apparemment, V Rising est le nouveau jeu à la mode, et c’est un bien beau retour du studio Stunlock Studios. S’engouffrant dans la voie des MOBA, ils ont d’abord fait paraitre en 2011 le F2P Bloodline Champions, puis Battlerite (2017) avec une patte graphique plus colorée. Les deux softs proposent des combats d’arènes de deux équipes en vue de dessus, avec de multiples personnages avec leurs propres compétences, rappelant les combats acharnés de champions d’un League of Legends, le côté RPG en moins. Battlerite Royale (2018) décide de se battle-royaliser pour rajouter des niveaux et de l’équipement pour que votre équipe soit la dernière en vie. Ils changent cette fois leur inspiration, tout en conservant ce qui fait le sel de leur jeu, avec V Rising. Vous dirigez en vue de dessus un vampire, qui se retrouve sur une grande carte, dans laquelle il va récupérer des ressources et affronter divers monstres. L’objectif est d’utiliser ses ressources pour construire son château, avec tout un tas de bâtiments pour réaliser des chaines de productions que ne renieraient pas un Valheim (2021). Mais V Rising n’oublie pas sa filiation : il propose ainsi différentes armes à manier et pouvoir à employer pour triompher des monstres divers allant du squelette aux humains en passant par divers boss, et même à d’autres vampires sur des serveurs PVP où chacun peut établir sa petite bâtisse. On rajoute à ce cocktail sanguinolent différents types de sang à sucer pour s’octroyer divers bonus et des évolutions de personnage pour débloquer de nouvelles compétences. Le premier jeu payant du studio s’est ainsi vendu à un million d’exemplaires en une semaine. Cette synthèse de plusieurs genres a le mérite d’être assez originale : reste à voir comment gérer désormais ce succès pour ce jeu en early access.

 

 

Les habitués du FPS que sont les Polonais de Flying Wild Hog, après avoir développé Hard Reset (2011), ont ressuscité le FPS des années 90 japanisant Shadow Warrior avec une trilogie, parue entre 2013 et 2022. Souhaitant se diversifier, le studio compte aller cette année du côté du western fantastique avec Evil West, partir dans le top-down shooter avec Space Punks, tout en nous proposant une aventure de samurai inspirée des films d’Akira Kurosawa, avec Trek to Yomi. Le jeu de samurai en vue de côté nous voit écumer de magnifiques environnements en noir et blanc, au service d’une ambiance exceptionnelle, au milieu d’attaques sanglantes de bandits et de voyage dans le monde des morts. Les mouvements de combat sont stylés, mais l’action reste plutôt répétitive pour la poignée d’heures que compte l’aventure. Un habile pas de côté du studio.

 

 

Si vous vous rappelez de Titan Quest (2006), vous vous rappelez sûrement d’un hack’n’slash à la Diablo où il s’agit de tabasser divers ennemis, de récupérer des niveaux et de l’équipement, pour ensuite choisir son évolution de personnage pour débloquer toujours plus de pouvoirs. Si le genre de l’hack’n’slash n’est pas encore mort, la dernière preuve étant l’engouement pour le MMO sud-coréen Lost Ark (février 2022) qui passait 20 millions de joueurs en mars dernier, peu arrivent au niveau des tenants du genre. Dans cette brèche, on retrouve désormais Achilles Legend Untold, qui se rapproche certes d’un Titan Quest pour l’ambiance et les ennemis, mais est plus orienté action pure qu’action-RPG. On a de la prise de niveaux, des compétences à débloquer comme le jet de bouclier, et des ressources à trouver pour améliorer son équipement, mais ce n’est pas la recherche de trésors qui compte, et le combat en tant que tel s’inspire davantage d’un jeu à la Souls avec barre d’endurance, esquive, coups légers et coups lourds, et une place pour le positionnement. L’early access n’a pas encore d’assez intérêt à moyen terme pour justifier l’achat, mais les bases sont déjà là.

 

 

Viser la tête (Shooter)

 

Les Anglais de Rebellion Developments sont connus, outre leurs nombreux ports, pour avoir développé depuis 2005 la série de TPS Sniper Elite. On y dirige en pleine Seconde Guerre mondiale un tireur d’élite en vue troisième personne, qui doit silencieusement se positionner pour trouver un bon endroit d’où utiliser son arme principale en vue première personne cette fois pour réaliser diverses missions allant de l’assassinat au sabotage, en faisant attention au vent, à la respiration et à la balistique. A chaque balle bien placée, le joueur est récompensé par un petit ralenti. Sniper Elite V2 (2012) a inauguré quant à lui la X-Ray Kill Cam, qui reprend le principe du ralenti mais en permettant de voir la trajectoire de la balle directement dans le corps adverse, perçant muscles et os. Sniper Elite III (2014) a inauguré l’obtention d’expérience à chaque élimination, et Sniper Elite IV (2017) profite d’environnements plus riches et de niveaux plus étendus. On note d’ailleurs au passage leur irruption dans le sniping de zombies avec des contenus additionnels réunis ensuite dans Zombie Army Trilogy (2015) et plus récemment Zombie Army 4 : Dead War (2020). Le cinquième opus, Sniper Elite 5, arrive donc ce mois-ci. On se retrouve cette fois en France, dans des environnements plus larges et plus beaux que jamais avec plein de points d’entrée, au service d’une histoire toujours à peu près absente, avec un zeste de customisation d’armes, des compétences à acquérir avec vos rangs, une bonne agilité et la possibilité d’envahir la partie d’un joueur pour essayer de le contrer, ce qui fait du soft une évolution plus qu’une révolution.

 

 

Les Tchèques de Bohemia Interactive préparent la nouvelle génération des shooters tactiques. Depuis Operation Flashpoint : Cold War Crisis (2001), renommé depuis Arma : Cold War Assault, le nom étant passé à Codemasters, ils sont réputés pour produire des FPS complexes sur de grandes cartes, avec la gestion de la balistique, de l’équipement contemporain, et tout un système permettant de simuler la guerre à partir de distances d’engagement bien plus réalistes que la concurrence avec les FPS arcade. Mais c’est surtout sa communauté de passionnés de la chose militaire qui fait encore à ce jour d’Arma III une référence, grâce à l’éditeur de missions qui permet à ceux-ci de simuler au plus juste des opérations militaires. Depuis 2013, Arma III reste donc plutôt joué, mais il est apparemment temps de changer de moteur de jeu et de passer à la suite. En attendant Arma 4, on retrouve donc Arma : Reforger, sorte de preview du moteur Enfusion, encore en early access et sans l’ensemble des features. On retourne sur l’île d’Everon issu du tout premier jeu de la série, en pleine Guerre Froide. Le soft permet à ce jour du multijoueur, et de la création de scénario, et c’est à peu près tout. On attendra de recevoir plus de fonctionnalités.

 

 

Si vous aimez l’horreur des films de Sam Raimi et notamment de la saga Evil Dead, vous serez aux anges en apprenant qu’Evil Dead The Game pointe le bout de son nez, avec les Américains de Saber Interactive. Ceux-ci sont davantage des habitués de ports, notamment de la saga Halo, sans oublier leurs jeux maison dont leur FPS Timeshift (2007) et leur TPS anti-zombie World War Z (2019). Ils reviennent donc avec un TPS d’horreur, mais cette fois il s’agira de combattre des sortes de zombies, squelettes et démons, en réunissant sur une grande carte des éléments permettant aux survivants de vaincre le mal une bonne fois pour toute, avec des personnages à incarner comme le roi Arthur. Le jeu ressemble à un Left 4 Dead qu’on aurait transformé en battle royale, avec une zone qui se rétrécit au fur et à mesure, et du loot à récupérer pour vous équiper d’épées comme de fusils à pompe. Si les animations sont un peu à la ramasse, on retrouve malgré tout une bonne prise en main, une bonne violence, le tout au service d’une montée de compétences pendant la courte aventure, et même de niveau avec les personnages entre les aventures. Mais c’est aussi un jeu mulitjoueur asymétrique : un des joueurs va ainsi se retrouver aux commandes du démon, pour ouvrir des portails, invoquer de terribles créatures, effrayer les joueurs pour les séparer, voire les posséder. Reste à voir si le jeu possédera aussi les foules.

 

 

Gestion d’invasion (Stratégie)

 

En 1998, quelques années après un certain X-COM : Ufo Defense, Warhammer 40K : Chaos Gate propose d’incarner des escouades de Space Marines dans leur lutte contre le Chaos. On y alterne gestion de l’escouade et de l’équipement, et batailles tactiques avec des points d’action pour bouger, tirer ou utiliser une grenade, l’utilisation de l’environnement pour fournir notamment des couverts, et un gameplay qui ressemble beaucoup à Ufo Defense, le tout avec une bande-son qui est encore à ce jour une des meilleures bande-son de Warhammer 40K, en particulier l’hymne chaotique des Word Bearers et la soupe des Ultramarines : pour la petite anecdote, les auditeurs russes ont comme hallucination auditive le mot soupe prononcé dans cet hymne. Plus de vingt ans plus tard, un successeur spirituel se présente donc avec Warhammer 40K : Chaos Gate – Daemonhunters des Canadiens de Complex Games. Aux commandes des Chevaliers Gris, il est temps d’apporter l’ordre dans la galaxie contre les suppôts décadents de Nurgle : sur la carte de campagne, vous voyagez de planètes en planètes pour gérer l’infestation et choisir votre mission, gérez votre vaisseau et vos recherches pour débloquer divers bonus, mais aussi l’équipement de vos soldats et leurs compétences physiques et psychiques. Au combat, on retrouve les points d’action, permettant de bouger, tirer, recharger, frapper au corps-à-corps, avec cette fois nulle présence de pourcentage de chance pour toucher, uniquement un pourcentage de chance de réaliser un coup critique, même s’il faudra tout de même gérer la distance d’engagement pour des dégâts maximaux. On détruit l’environnement, on utilise des compétences psychiques qui ont une chance d’attirer le warp sur notre petite bande avec divers malus comme une maladie ou des renforcements ennemis, et il y a également de quoi réaliser des exécutions à la Gears Tactic pour restaurer des points d’action aux membres de votre escouade. Le jeu est ainsi efficace et complet, tout ce qu’on attendait du successeur de Chaos Gate. La bande-son n’a malgré tout pas l’air aussi mythique que son aîné.

 

 

Cantata d’Afterschool Studio est un jeu de stratégie au tour par tour assez original. Deux phases coexistent : d’un côté, vous avez la gestion de base, avec des bâtiments à poser en nombre limité dans chaque zone du jeu, qui produisent des ressources, ces ressources devant être transportées dans d’autres bâtiments pour aboutir à des choses comme l’essence et des matériaux plus intéressants pour construire des armées, le tout avec des points de construction. Dans le même temps, vous avez une réserve de points d’action pour bouger toutes vos unités militaires, toujours assez limitée. Il faut donc pour triompher de l’adversaire gérer au mieux ses chaines de production et leur placement, tout en s’occupant d’emmener les bonnes unités au bon endroit pour les faire agir au bon moment. La direction artistique est somptueuse, et on serait ravi d’en savoir plus au fil des mois de son early access.

 

 

Depuis King’s Bounty (1990) et Heroes of Might & Magic (1995), le genre de la stratégie-tactique à la sauce fantasy a trouvé ses maitres. La partie stratégique sert à recruter des héros, construire des bâtiments dans vos cités, recruter des unités, et monter de niveau pour apprendre de nouvelles compétences. La partie tactique nous met sur une carte en damier pour opposer les forces de votre héros et celles de votre adversaire, où il faut gérer le positionnement, la gestion de vos sorts et les compétences diverses de vos unités. Si le genre est un peu tombé dans l’oubli, reste que des softs continuent de paraitre : l’année dernière, King’s Bounty II (août 2021) et Disciples : Liberation (octobre 2021) ont voulu donné une suite à leurs séries respectives, tandis que des softs comme Hero’s Hour (mars 2022) essayent de proposer divers twists. Ce n’est pas le cas de Song of Conquest de Lavapotion, qui propose rien de moins que cela. Avec une campagne et un mode escarmouche, vous contrôlez une des quatre factions, deux d’humains, une de morts-vivants et une d’étranges créatures crapauds, et vous partez sur la carte. Vous capturez des bâtiments de ressources, vous trouvez des trésors, vous faites vos recherches et vos constructions en villes, qui se répartissent d’ailleurs sur la carte, vous recrutez automatiquement vos unités dans vos cités en fonction de vos bâtiments, que vous pouvez améliorer, et vous vous battez évidemment. Le système de magie dépend des unités que chaque héros ramène en jeu, avec différents types d’essence permettant de sortir différent type de sorts, et le tout est au service d’un pixel-art assez charmant. Reste à voir si le studio a prévu d’augmenter son nombre de races pour apporter plus de variété.

 

 

Line War de Studio Centurion est un STR multijoueur très original, dans le sens où plutôt que de dire à chaque unité ce qu’elle doit faire, vous devez mettre en place des commandes visuelles comme une ligne de défense, un axe d’attaque ou de bombardement, que vos unités vont tâcher d’utiliser pour mener à bien leurs missions. Le concept est intéressant, mais pour l’instant le jeu ne se joue qu’en multijoueur, ce qui peut limiter très vite le nombre de joueurs.

 

 

Révolté (RPG)

 

Parmi les séries de jeux de rôle mythiques, on retrouve Suikoden (1995-2006) avec cinq opus parus sur les deux premières consoles de Sony. Inspiré du roman d’aventures classique de la littérature chinoise, Au bord de l’eau, qui aurait été compilée au XIVe siècle, on se focalise sur l’histoire de 108 bandits, révoltés contre le système politique en place, avec moult histoires et événements surnaturels. A ce titre, les jeux Suikoden suivant généralement cette trame, pour partir à la recherche des 108 étoiles de la destinée pour généralement sauver le monde, avec des batailles au tour par tour classiques des JRPG, mais aussi des duels et même des batailles entre armées, au service d’histoires complexes. Si la série s’est arrêtée, c’est essentiellement à cause des ventes toujours décevantes. A ce titre, un kickstarter a été lancé en 2020 pour réaliser le successeur de la saga, avec Eiyduen Chronicle : Hundred Heroes, qui devrait arriver en 2023, avec aux manettes d’anciens développeurs de la série. En guise de mise en bouche, on reçoit ce mois-ci Eiyuden Chronicle : Rising, qui doit arriver à faire patienter les joueurs avec un autre système de jeu et une autre histoire. On retrouve ici un RPG d’action en vue de côté avec trois personnages dont un guerrier, une mage et un mercenaire kangourou, qui vont explorer les environs, récupérer des ressources et combattre des monstres dans le but de construire une petite ville en une vingtaine d’heures. Le système de combat permet de changer à la volée de personnage pour réaliser des combos, les améliorations permettent de débloquer des mouvements et des compétences pour explorer davantage, mais l’expérience reste un peu répétitive, avec un peu trop de quêtes de récolte de ressources. L’expérience est sympathique, mais n’est pas encore ce qu’attend le fan de Suikoden, qui patientera pour avoir son RPG au tour par tour et ses 108 personnages à récupérer.

 

 

Brain Seal Ltd réalise des RPG en tour par tour depuis leur Dark Quest 1 et 2 de 2015 et 2018. Avec Dark Quest Board Game, il s’agit d’une version jeu de plateau : on a des figurines, chacune représentant une classe. Vous les équipez et les armez à l’aide de cartes de combat et de compétence. Puis vous tirez les cartes de votre aventure, résolvez les différents événements, avant de vous battre sur un damier au tour par tour avec diverses monstruosités en utilisant vos cartes.

 

 

Yaengard de Planeshift Interactive est un RPG où il faut faire des choix, vous battre au tour par tour, s’équiper et monter de niveaux, avec un système de trait qui va impacter certaines compétences et choix dans l’aventure.

 

 

Autres

 

One More Island de Berg Games est un city-builder coloré, vraisemblablement construit sur le moteur d’un certain Prison Architect. Vous y réaliser vos chaines de production pour équiper, habiller et nourrir vos colons, en gérant tout, que ce soit la pose des fondations, des murs, des portes, des coffres de stockage jusqu’au recrutement des travailleurs. Vous pouvez ensuite coloniser d’autres îles, et assouvir tous les besoins de vos colons.

 

 

Decision Red Daze de FlyAnvil nous emmène dans un monde dévasté de zombies pour y diriger un survivant, qui va écumer ce monde, récupérer du stuff, recruter des survivants et construire sa petite base pour gérer ce petit monde, base qu’il va falloir défendre régulièrement pour se faire des zombies et des pilleurs. Le petit jeu reste encore bourré de défauts pour le moment, avec moult bugs et problèmes de pathfinding.

 

 

Il faut croire que Total Mayhem aime la coopération. Après We Were Here (2017), We Were Here Too (2018), on découvre We Were Here Forever. Comme d’habitude, on y joue à deux pour résoudre diverses énigmes, les deux joueurs étant souvent séparés et devant communiquer efficacement pour venir à bout de l’aventure d’une dizaine d’heures.

 

 

Jeux de mai 2022 :

  • Action : Achilles Legend Untold, Decision Red Daze, Trek To Yomi, V Rising
  • Autres : We Were Here Forever
  • City-builder : One More Island
  • FPS : Arma : Reforger
  • RPG : Dark Quest Board Game, Eiyuden Chronicle : Rising, Yaengard
  • STR : Line War
  • Stratégie : Cantata
  • Stratégie-tactique : Songs of Conquest
  • Tactique : Warhammer 40K : Chaos Gate – Daemonhunters
  • TPS : Evil Dead : The Game, Sniper Elite 5

 

Jeux d’avril 2022 :

  • 4X : Galactic Civilizations IV
  • Action : Astral Ascent, Lego Star Wars : The Skywalker Saga, Rogue Legacy 2
  • Autres : Teardown
  • Course : MotoGP 22
  • Gestion : Prehistoric Kingdom, Ragnorium, Stacklands
  • STR : Dune : Spice Wars

 

Jeux de mars 2022 :

  • 4X : Distant Worlds 2
  • Action : Dungeons Defender : Going Rogue, Have a Nice Death, Stranger Of Paradise : Final Fantasy Origin, This Means Warp, Tunic, Weird West, Young Souls
  • Autres : Aperture Desk Job, Far : Changing Tides, Lazy Galaxy 2
  • Gestion : Planet Crafter
  • FPS : Ghostwire : Tokyo, Shadow Warrior 3, Tiny Tina’s Wonderlands
  • RPG : Black Geyser : Couriers of Darkness, Elex 2
  • Simulation de vie : No Place Like Home, Spirit of the Island
  • STR : TFC : The Fertile Crescent
  • Stratégie-Tactique : Hero’s Hour

 

Jeux de février 2022 :

  • Action : Elden Ring, Dying Light 2, Horizon Forbidden West, Lost Ark, Sifu
  • Gestion : God of Sands
  • Runner : OlliOlli World
  • STR : Diplomacy is not an Option
  • Stratégie-tactique : Total War : Warhammer III
  • TPS : Holdfast : Frontlines WWI

 

Jeux de janvier 2022 :

  • Action : God of War, Monster Hunter Rise, Nobody Save the World
  • FPS : Black One Blood Brothers, Rainbow Six Extraction, The Anacrusis
  • RPG : Expeditions : Rome, Pokémon Legends : Arceus
  • Tactique : Doors of Insanity, Warno

 

Editions 2022 de l’Actu Jeu Vidéo du Captain :

 

Editions 2016-2021 de l’Actu Jeu Vidéo du Captain :

 

Liste des jeux vidéos du site.

Leave a Reply