Les géants se heurtent à mes premières lignes |
Les géants se sont faits atomiser. Mais mes troupes mort-vivantes fuient face aux prêtres. |
J’arrive même à sortir de l’enceinte du château. |
Certaines troupes fuient, ça sera ma chance. |
Mon prophète est un gros sac à points de vie |
Il ne fuit plus… |
Il se bat. |
Il meurt après en avoir tué un. |
J’ai besoin de perturber sa victoire coûteuse en rengageant une offensive en mettant l’accent sur la puissance de mes sacrés avant qu’il ne profite vraiment de toutes ses rentrées d’argent. En avant Lanka ! (Oui j’utilise sans cesse ce cri de guerre, mais j’en ai besoin).
*Voici ce que j’ai posté :
« Eric le vaillant est aujourd’hui décédé. Ses troupes et lui ont emporté la moitié de l’armée ennemie dans la tombe.
Eric a toujours fait montre d’un intérêt marqué pour le succès de ses propres troupes. La perte de Lord Lankada l’a profondément affectée.
La bataille d’Utonshire devait être un gigantesque piège, mais l’argent, ce cruel ennemi, n’avait jamais été de cet avis.
Eric a donc attendu vaillamment la fin, au milieu de ses troupes. Lorsque celles-ci furent décimées, et qu’il ne restait que 8 ennemis sur le champ de bataille (20 des leurs sont morts, 10 des leurs ont fui), il était le seul à tenir son fauchon avec un mélange d’appréhension et de fureur guerrière. Il s’est battu vaillamment face à des ennemis de deux fois sa taille, esquivant, prenant des coups et se relevant, parant les gigantesques lames ennemies. Il réussit à plonger son arme dans le coeur d’un des géants grâce à un saut savamment calculé. Son ancienne nature de singe s’était réveillée alors qu’il était à l’article de la mort. Cette nature qu’il avait troqué pour celle de prophète. Mais un coup retourné d’un des géants finit par le couper en deux. Il hurla « Gloire à Lanka !!! » avant de s’éteindre comme il avait vécu, dans la guerre, la boue, et le sang.
Respect Eric.
Lanka. »
*Ce à quoi mon adversaire a répondu :
« Nos guerriers ont osé, et ont vaincu malgré une armée adverse lâchement campée derrière sa palissade, et quatre fois supérieure en nombre.
Certes, les armes à la main, mais le dos au mur, abandonné par tous ses soldats, lesquels avaient abandonné toute foi, tout désir de combattre pour un imposteur. Difficile de savoir s’il s’agissait de la part d’Eric d’une vaine tentative de sauver le peu de dignité qu’il lui restait, ou alors simplement d’un ridicule nouvel excès d’assurance de sa part. Toujours est-il qu’il est mort.
Nul doute que l’absence de son fidèle champion lui aura cruellement manqué, particulièrement dans ses derniers instants, où Lord Lankada n’aurait certainement pas manqué de lui accorder un répit salvateur, une fois de plus.
La destin a tranché : le monde qui se bâtit sur nos guerres n’accorde aucune chance, aucun pardon aux faibles.
Le prochain prophète que vous nommerez connaitra le même sort.
Niefelheim.«
Il me faut maintenant attendre 5 tours pour nommer un nouveau prophète.