AAR Dominions 4 – Duel au Sommet – Conséquences (20)

Tour 21, partie 2
Vous n’avez pas manqué de remarquer que ma stratégie s’est soldée par une défaite, mais avais-je seulement le choix ? Il est évident que cette partie est mal assurée à cause de revenus beaucoup trop faibles. Et pour cause, les provinces sont toutes dépeuplées. Du coup, ma stratégie d’invocation en sang est pour l’instant arrêtée et mon armée est très faible. Ma faiblesse en revenus a causée cette défaite.
Cette bataille…
Mais revenons à la bataille. Mes sacrés étaient moins nombreux que ses guerriers (alors que c’est le même prix) mais j’avais la supériorité numérique. Quelques ennemis ont fuit, on n’était pas loin mais il manquait des troupes : les Ganas par exemple. J’aurais dû retarder mon invasion d’un ou deux tours, mais ça lui aurait permis de se stabiliser dans ses territoires. Et s’il avait eu vent des mercenaires…
Donc je vous rassure, tous les mercenaires ont été massacrés. Il reste juste une bande d’archers que j’envoie contester la province du trône furtivement. Mais attention : ce n’est pas un échec total. La majorité des troupes représentait des invocations et des mercenaires (150 pièces d’or maximum). Mes vraies pertes sont les 60 Anusaras soit 2100 pièces d’or et 240 ressources. Mon commandant et mes guerriers bandars ne valent pas le coup qu’on ne les compte. En face, 50 Lanciers pour 1500 pièces d’or et 850 ressources, 16 Javeliniers pour 480 pièces d’or et 304 ressources, et 8 Changeurs de Forme pour 640 pièces d’or et 40 ressources. Donc 2620 pièces d’or et à peu près 1200 ressources. Un coup plus dur que pour moi. Donc de ce côté-là, ce n’est pas un problème. Mon graphique peut le confirmer.
Les tailles d’armées
Comme vous le voyez, ma courbe jaune a souvent été en-dessous, mais a fini par dépasser l’ennemi même après ma défaite. Et ouais : mon objectif est atteint. Reste à savoir ce que je vais faire ensuite.
Mon armée de ganas part rejoindre Eric (le veinard qui a survécu) pour défendre la province du trône, vu que j’ai mis pas mal de milice dessus. Mon armée pourra peut-être repousser mon adversaire et lui occasionner de nouvelles pertes…
Mon terrible ennemi m’a envoyé :
« Cher Eric,

Votre fourberie vous a joué des tours ! Vous parliez de nous attendre, et pourtant, en marchant à notre encontre vous vous êtes heurté à un mur de renforts. Après votre glorieux départ du champ de bataille, nous avons décompté 223 cadavres putrides que nous vous renverrons par trébuchets contre vos remparts, quand seuls 78 de nos fils donnèrent leur vie.

Je dois bien vous accorder avoir ressentit un – très passager -, pic d’excitation à l’idée de vous affronter, enfin. Et pourtant…une fois encore c’est votre couardise qui reste inscrite dans toutes les mémoires ! Mémoires qui ne manqueront d’ailleurs pas d’être publiées partout dès notre victoire acquise, afin que l’histoire retienne les leçons que nous inculquons à nos ennemis.

Et alors la vérité sera étalée aux yeux de tous : vous avez fui, laissant une moitié de votre cul de « prophète » dans la gueule d’un de nos loups. Les généraux qui vous ont offert cette survie sans gloire ni panache, sont, eux, tous décédés les armes à la main, à se demander s’ils étaient bien de votre espèce !

Que cela vous serve de leçon : la guerre n’est pas affaire de matamore, Buddhi aura intégré cette leçon plus tôt que vous, mais vous ne perdez rien pour attendre…

Victorieusement Vôtre, Jarl de Niefehleim. »

Ce à quoi j’ai répondu :
« Cher peuple ennemi,

Les trois-quarts de nos pertes consistaient en des représentants d’espèce inférieure que nous avions mis en première ligne dans le but de vous retarder pendant que nos vraies troupes démoniaques pouvaient s’acharner contre vos rangs. Je dois dire qu’au niveau des pertes, c’est tout à fait ce que nous espérions. N’hésitez pas d’ailleurs à rattraper vos « vaillants fils » qui ont quitté le combat la queue gelée entre leurs jambes.

Lord Lankada, surnommé Lord Lanka, a conseillé à votre fidèle serviteur de partir du champ de bataille, en vrai tacticien, pendant que lui même se sacrifiait pour me donner du temps. Je vivrai pour combattre un autre jour contre vos pathétiques hordes. Quant à votre loup qui m’a soi-disant croqué une fesse, il a été trop balourd pour ne serait-ce que m’égratigner. Envoyez de vrais combattants cher ennemi.

Ah, et notez, aimable ennemi, que notre objectif a été atteint. Votre grandeur n’est plus ce qu’elle était. Dépêchez-vous de rallier vos troupes et d’en créer de nouvelles avant la prochaine offensive…

Amicalement, Eric. »

La diplomatie reste rudimentaire comme vous le voyez !

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